lundi 4 janvier 2016

Brèves

Expo Bons baisers de Paris

© Roger-Viollet, Arrivée de touristes américains à Paris, Photographie, 1963. 

Si la Ville Lumière est restée, depuis l’époque moderne, une destination privilégiée des voyageurs, c’est qu'elle a su s’adapter aux différents âges de l’histoire du tourisme. Elle a également su développer, tout au long de ces années, des attraits particuliers. L'expo 

Bons baisers de Paris témoigne de ces évolutions et explique comment le tourisme a changé la capitale. Environ 300 documents proviennent des Archives nationales, de la Bnf, de la Bibliothèque historique de la Ville de Paris, de la Bibliothèque Forney, du musée Carnavalet… 

© Roger-Viollet, Arrivée de touristes américains à Paris, Photographie, 1963. 


Expo Bons baisers de Paris
Galerie des Bibliothèques
22, rue Malher
Paris 4e
horaires : tous les jours (sauf lundi) : 13 h-19 h, nocturne le jeudi jusqu’à 21 h

jusqu’au 31 mars 2016



Expo Entrer 

(c) Serge Brison Place de la cage aux ours à Bruxelles,
 aménagement d’un espace public, architectes MSA + NeysParteners. 

Entrer est une déambulation à travers les traces de cinq projets d’architecture qui ponctuent depuis peu le paysage wallon, bruxellois et flamand. Un choix de projets qui montre la diversité des pratiques et de la production architecturale belge francophone actuelle et qui témoigne de la volonté d’améliorer la qualité de vie des citoyens.

(c) François Lichte Arthothèque de Mons,
 ancienne chapelle reconvertie Atelier Gigogne architectures + Lescaut. 

  Expo Entrer
Centre Wallonie-Bruxelles
127, rue Saint-Martin
Paris 4e
horaires : du lundi au vendredi de 9 h à 19 h ; samedi et dimanche, de 11 h à 19 h

jusqu’au 12 janvier 2016



Expo Actrices (1900-1908) 

Coll. Fondation Jérôme Seydoux-Pathé, L’Etoile du génie : Affiche 

Fées, danseuses et aristocrates : les femmes sont depuis le début du cinéma associées à des personnages irréels et hors du commun, plus rarement comiques. Evoluant dans un monde merveilleux, ou générant des drames, ces égéries conduisent l’intrigue amoureuse. 

L'exposition Actrices (1900-1908) met en lumière l’imaginaire cinématographique : ce dernier s’inspire du théâtre, de la littérature et s’appuie sur les célébrités de la scène parisienne pour créer affiches et photographies.

Coll. Fondation Jérôme Seydoux-Pathé, La Baigneuse inconnue : Affiche 

Expo Actrices (1900-1908)
Fondation Jérôme Seydoux-Pathé
73, avenue des Gobelins
Paris 13e
horaires : du mardi au samedi de 13 h à 19 h ; le samedi de 10 h à 19 h

jusqu’au 20 février 2016



Expo Prosopopées : quand les objets prennent vie 

© DR Jacob Tonski, Balance from Within 

Le Centquatre présente l'exposition collective d'art contemporain numérique Prosopopées : quand les objets prennent vie. La prosopopée est une figure de style qui consiste à faire parler un animal, un objet animé, un mort, une chose personnifiée, une abstraction... 

Les œuvres présentées attendent ainsi les visiteurs pour prendre vie... 

© DR Nonotak, Horizon 

Expo Prosopopées : quand les objets prennent vie
Le Centquatre
5, rue Curial
Paris 19e
horaires : tous les jours (sauf lundi) : 14 h-19 h 

jusqu’au 31 janvier 2016



Expo Les Grands ducs de Bourgogne 

photo : Jean-René Gendre Vue extérieure de la tour Jean sans Peur (1409-1411),
 ultime vestige du palais parisien des ducs de Bourgogne. 


Peu après son retour de captivité, en 1363, Philippe le Hardi reçut la Bourgogne en apanage. C’est le début d’une épopée de 114 ans qui verra la puissance et la richesse des ducs de Bourgogne dépasser celles des plus grands princes d'Occident. L’expo 

Les Grands ducs de Bourgogne permet de comprendre le rôle politique des quatre ducs de Bourgogne Valois (Philippe le Hardi, Jean sans Peur, Philippe le Bon et Charles le Téméraire) face à la Couronne : leur stratégie d’expansion territoriale, leur mécénat ainsi que leurs fastes. Une exposition présentée à la Tour Jean sans Peur. 

Portrait équestre de Marie de Bourgogne, fille de Charles le Téméraire,
 Bruges, Bibliothèque municipale. 

Expo Les Grands ducs de Bourgogne 
Tour Jean sans Peur
20, rue Etienne Marcel
Paris 2e
horaires : du mercredi au dimanche, de 13 h 30 à 18 h

jusqu’au 3 avril 2016



Expo Les Rita Mitsouko & Catherine Ringer 


Démarrée à l’aube des années 80’, l’aventure du duo le plus iconoclaste du rock français a été suivie par Pierre Terrasson (au début du groupe),Youri Lenquette (des années 80 aux années 2000) et Renaud Corlouër (à partir de 2007 pour l’ultime session des Rita Mitsouko jusqu’aux derniers projets de Catherine Ringer en solo). En écho au livre paru aux éditions du Cherche-Midi, l’exposition présentée à la Galerie ADDICT dévoile les nombreuses facettes de Fred Chichin et Catherine Ringer. Un panorama éclectique à l’image du très riche répertoire de ce groupe qui a révolutionné le rock hexagonal durant trois décennies.


Expo Les Rita Mitsouko & Catherine Ringer 
Galerie Laetitia Hecht & Addict Gaerie
14/16, rue de Thorigny
Paris 3e
horaires : du mardi au samedi (11 h-19 h)

jusqu’au 6 février 2016



Expo Henri Salesse - Nouveau Monde 1945-1977 

Henri Salesse, autoportrait, non daté 
© MEDDE/MLETR 

Cette exposition vise à retracer pour la première fois la carrière d’Henri Salesse (Paris, 1914-2006), photographe fonctionnaire du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme (MRU) dès 1945. A travers le parcours de Salesse, c’est l’histoire de ce ministère et les choix de la reconstruction française d’après-guerre qui sont exposés. Henri Salesse apparaît en effet comme l’observateur privilégié d’une transformation radicale et spectaculaire du territoire français.

Circulation Porte d’Orléans à 18 h 30, Paris, avril 1958
© MEDDE/MLETR 

Expo Henri Salesse - Nouveau Monde 1945-1977
Maison de la Photographie Robert Doisneau
1, rue de la Division du Général Leclerc
94 250 Gentilly
horaires : du mercredi au vendredi (13 h 30-18 h 30), samedi et dimanche (13 h 30-19h)
entrée libre

du 29 janvier au 24 avril 2016




Expo Persona étrangement humain 

© musée du quai Branly, photo Claude Germain 
Sculptures haïtiennes représentant le loa Ogoun, Haïti, XIXe Siècle, surnatéum, Bruxelles. 

L'exposition Persona étrangement humain pose plusieurs questions : comment l’inanimé devient-il animé ? Comment l’homme instaure-t-il une relation insolite ou intime avec des objets ? Des sujets auxquels un groupe d’anthropologues s’est intéressé.

Nombreux sont les objets dont le statut est plus proche de celui d’une personne ou d’une créature que d’un simple objet : objets d’art (occidental ou non occidental, populaire ou contemporain) et produits « high tech » (robots, machines...) se voient régulièrement attribuer dans leur utilisation des capacités d’action insoupçonnées qui en font des quasi-personnes. Un transfert ou une confusion qui s’opère entre l’humain et le non-humain, une relation particulière et personnalisée qui les lie, dans les cultures les plus variées : tel est le vaste sujet de cette exposition présentée au musée du Quai Branly.

© musée du quai Branly, photo Cyril Zannettacci 
Robot Berenson 

Expo Persona étrangement humain 
Musée du Quai Branly
37, quai Branly
Paris 7e
horaires : tous les jours (sauf lundi) : 11 h-19 h ; nocturne le jeudi, le vendredi et le samedi jusqu’à 21 h

du 26 janvier au 13 novembre 2016









































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