lundi 3 juin 2013

Brèves


Expo Pub Mania : ils collectionnent la publicité 




Une ne boîte à biscuits recyclée en boîte à trésors, un éventail, un pichet, un cendrier publicitaire : depuis la fin du XIXe siècle, la publicité offre une multitude d’objets facilement collectionnables. Ces objets, usuels pour la plupart, font l’objet de collections amusantes, surprenantes, hétéroclites autour d’une marque, d’un évènement, d’un thème, ou bien liés à un usage spécifique ou à une cible privilégiée. 

L' exposition Pub Mania : ils collectionnent la publicité, réalisée à partir du fonds Publicité des Arts Décoratifs, explore le phénomène de la collection de ces objets modestes et la psychologie des collectionneurs, dont les profils ne sont finalement pas si différents de ceux des collectionneurs d’Art.

 
Bernard Villemot pour Bally, 1967, Pub Mania 

Expo Pub Mania : ils collectionnent la publicité 
Musée des Arts Décoratifs
107, rue de Rivoli
Paris 1er
Tous les jours (sauf lundi) de 11 h à 18 h, nocturne le jeudi jusqu’à 21 h

du 23 mai au 6 octobre 2013



Expo Hey ! modern art & pop culture / Part II 



Pour la seconde fois, le musée de la Halle Saint-Pierre et la revue HEY! s’associent pour présenter l’exposition HEY ! modern art & pop culture. Anne & Julien, créateurs de la revue HEY ! proposent une nouvelle rencontre entre les courants de la pop culture, les formes populaires de l’art moderne et contemporain, l’art outsider et l’art singulier.

Kate Clark, les hommes / animaux

 Alors que la première édition réunissait plus de 64 artistes internationaux, HEY! modern art & pop culture / Part II renouvelle l’expérience avec de nombreuses figures issues de courants artistiques similaires et garantit la même « puissance de découverte », tout en présentant des figures de proue telles que Joe Coleman, Louis Pons, Mati Klarwein, Masami Teraoka


Beb Deum, Yu Es Bi chan. Image numérique, tirage Argentique Lambda sur dibond, 2010



Expo Hey ! modern art & pop culture / Part II
Halle Saint-Pierre
2, rue Ronsard
Paris 18e
Ouvert en semaine de 10 h à 18 h, samedi (10 h-19h ), dimanche (11 h-18 h)

jusqu’au 23 août 2013



Expo Martin Karplus, la couleur des années 50



Grand Canyon, Arizona, 1956 
© Martin Karplus 
BnF, Estampes et photographie


Né à Vienne en 1930, et vivant aux États-Unis depuis 1938, Martin Karplus est professeur au Département de Chimie et Biologie Chimique à l’Université de Harvard (Cambridge, États.-Unis) et directeur du Laboratoire de Chimie Biophysique à l’ISIS (Université de Strasbourg). 

Ce scientifique a pratiqué la photographie (en Europe, Asie, Amérique du Sud ainsi qu'aux Etats-Unis) en couleurs entre 1954 et 1960. Une centaine de ces images sont présentées à la BnF, François-Mitterrand. Elles témoignent du regard curieux et profondément humaniste d’un grand chercheur.


Autoportrait, Californie, 1956 

© Martin Karplus 
BnF, Estampes et photographie


Gallup, New Mexico, 1956

© Martin Karplus 
BnF, Estampes et photographie


Expo Martin Karplus, la couleur des années 50
Bibliothèque nationale de France - site François-Mitterrand
11, quai François-Mauriac
Paris 13e
Tous les jours (sauf fériés) : 9 h-20 h, dimanche (13 h-19 h), lundi (14 h-20 h)
Entrée libre

jusqu’au 25 août 2013



Expo Chaissac - Dubuffet 


L’Adresse Musée de La Poste présente l’exposition Chaissac - Dubuffet, entre plume et pinceau. Quatre-vingts œuvres (tableaux, sculptures et objets) de chaque artiste, des documents et des lettres sont à découvrir. 

Le fil directeur du parcours est la correspondance croisée Chaissac - Dubuffet, publiée par Gallimard en mai 2013. Cette correspondance, constituée de 448 lettres, permet de mieux comprendre leurs œuvres.

A Lili, deux personnages et un animal, 1950. Gaston Chaissac © Adagp Paris 2013 

Expo Chaissac - Dubuffet 
Musée de la Poste
34, boulevard de Vaugirard
Paris 15e
Tous les jours (sauf dimanche) de 10 h à 18 h, jusqu’à 20 h le 1er jeudi du mois

du 27 mai au 28 septembre 2013




Expo Ready (to be) made 

Bas Jan Ader – Taiyo Onorato & Nico Krebs 


© Taiyo Onorato & Nico Krebs, View 2, 2005, série The Great Unreal, FNAC 2011-0530, Centre National des Arts Plastiques

A plusieurs générations d'écart, l'œuvre de Bas Jan Ader, artiste néerlandais né en 1942 et émigré en 1963 en Californie, et celle d'Onorato & Krebs, deux artistes suisses nés en 1967 et vivant à Berlin, se répondent et se font face. 
Toutes deux oscillent entre l'Ancien et le Nouveau Monde. Toutes deux activent la substance « readymade » d'un objet ou d'un corps placé devant la caméra ou l'objectif. Toutes deux convoquent la froideur de l'art conceptuel et, au même moment, l'absurdité du comique burlesque. Toutes deux cherchent l'harmonie et la trouvent, par la pauvreté des moyens. Toutes deux provoquent délibérément « l'accidentellement vrai ».

© Taiyo Onorato & Nico Krebs, Happy Ending, 2005, série The Great Unreal Courtesy RaebervonStenglin, Zurich 

Expo Ready (to be) made
Bas Jan Ader – Taiyo Onorato & Nico Krebs
Le Bal
6, impasse de la Défense
Paris 18e
mercredi/vendredi (12 h-20 h), samedi (11 h-20 h), dimanche (11 h-19 h), nocturne le jeudi
 jusqu'à 22 h
Fermé lundi et mardi



Expo Sens dessus dessous 

Karin Cyrén, The only Girl in the World, Builders, 2011 

L'Institut Suédois présente Sens dessus dessous,  exposition d'illustration contemporaine.  Eva Lindström fait partie d’une génération d’auteurs-illustrateurs suédois de livres pour enfants qui, ayant émergé dans les années 1980, a fortement marqué et renouvelé le genre. Aujourd’hui, Eva Lindström reste une référence pour beaucoup d’artistes plus jeunes dont l'on peut voir les oeuvres lors de cette expo. Emma Adbåge, Karin Cyrén, Camilla Engman, Joanna Hellgren, Maria Libert, Moa Schulman et Emelie Östergren ont ainsi de nombreux points communs. Elles osent s’approcher du langage pictural de l’enfant, s’exprimant dans un style naïf, parfois espiègle.

Joanna Hellgren, Mormors sjal, 2012 

Expo Sens dessus dessous
Institut suédois
11, rue Payenne
Paris 3e
Tous les jours (sauf lundi, 21 juin et du 15 juillet au 2 septembre), de 12 h à 18 h
Entrée libre

jusqu’au 20 octobre 2013




Expo Paris la nuit 


Paris la nuit révèle la ville, la part du jour et l’œuvre de la nuit, une histoire fantôme masquée dans l’obscurité, jamais retracée, pourtant constituée de figures emblématiques, d’architectures singulières et d’usages pluriels. 

Des nuits aristocratiques aux « raves parties », des guinguettes aux discothèques, des allumeurs de réverbères aux agents de maintenance du métro, du Palais-Royal aux parcs d’attractions, des expositions universelles aux salons professionnels, des drugstores, bowlings et cinémas de la modernité aux showrooms contemporains : la nuit métropolitaine a évolué dans ses lieux et dans son vocabulaire. Une richesse peu connue est ici présentée, à travers deux cent cinquante œuvres (films historiques, cartes...). Au Pavillon de l'Arsenal.


Expo Paris la nuit
Pavillon de l’Arsenal
21, boulevard Morland
Paris 4e
Ouvert du mardi au samedi de 10 h 30 à 18 h 30, le dimanche de 11 h à 19 h
Entrée libre

du 23 mai au 6 octobre 2013



Concert de Sophie Hunger à Paris le 5 juin 2013

Sophie Hunger

Chanteuse et compositrice suisse, Sophie Hunger, en tournée en France, a sorti récemment The danger of light,  un 4e opus, qui reflète son séduisant univers entre folk, pop, jazz et blues. Cette jeune interprète, qui joue sur de nombreux instruments (piano, guitare, saxophone, harmonica) et compose la plupart de ses chansons en anglais, en suisse-allemand ou en allemand, est devenue en quelques années, comme Anna Aaron, l’une des chanteuses les plus marquantes du circuit musical helvète jazz/blues/folk.


Concert de Sophie Hunger  le 5 juin à 19 h 30
Le Trianon
80, boulevard de Rochechouart
Paris 18e



Concert de Kesiena à Paris le 6 juin 2013


Kesiena

Dans la langue des Urhobos, peuple du delta du Niger d'où il est originaire, Kesiena signifie « Enfin, il est arrivé ! ». Avec It was all written (2013) son premier album, Kesiena dépasse ses origines pour aller là où on ne l'attend pas et trace sa route musicale entre le blues rock des 70's, de Neil Young à Ben Harper, jusqu'aux Black Keys. Le tout est porté par une voix soul dont l'apparente retenue n'a d'égale que la folie qu'elle dégage sur scène. Pour Kesiena, il faut faire une musique « qui lui donne l'impression de ne pas être mort ».



Concert de Kesiena le 6 juin 2013 (20 h)
Divan du Monde
75, rue des Martyrs
Paris 18e



Magazine d’art trimestriel, Prussian Blue, qui vient de sortir son numéro de printemps, propose une vision décalée de l’art au croisement de la création contemporaine et de la mode, mais aussi, par goût des contrastes, du classicisme le plus élégant. De la tenue donc, mais avec une pointe d’excentricité. La voie suivie est celle du dandysme artistique qui est le propre des amateurs, au meilleur sens du mot. Conformément à cette ligne, Prussian Blue s’attache à offrir des repères aux lecteurs, donnant accès aux ateliers des artistes, expliquant leur travail, informant de tout ce qui touche au marché de l’art, des collections privées aux ventes publiques.












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