Inspiré d’une série d’articles - parus dans le journal populaire
Paris Matinal - du poète surréaliste
Robert Desnos (1900-1945),
Jack l’éventreur entraîne d’emblée vers le climat nébuleux du plus célèbre – et méconnu - assassin d’Angleterre. Mis en scène par
Vincent Poirier, le spectacle - comptant un comédien (le narrateur et
Jack), une danseuse (témoin emblématique des meurtres) et un musicien (le violoncelliste) - se profile comme une évocation minutieuse des crimes de
Jack The Ripper.