lundi 17 novembre 2025

Illustrer les guides touristiques imprimés du XIXe siècle à nos jours


 


Intitulé Illustrer les guides touristiques imprimés du XIXe siècle à nos jours cet intéressant ouvrage a pour ambition d’interroger la place et le rôle de l’illustration dans l’histoire des guides touristiques imprimés.

Il invite à penser la façon dont le recours à l’illustration a évolué avec le temps, les modes d’illustration retenus par les auteurs et les éditeurs, le choix pratique, stratégique et commercial de ces illustrations conduisant parfois à la relégation du texte. A partir du XIXe siècle, les guides touristiques imprimés se sont affirmés comme le support incontournable de la préparation du voyage : itinéraires, hébergements, visites de sites, ils proposent au lecteur un ensemble de conseils pratiques et d’informations culturelles permettant de préparer le déplacement, le séjour et les visites. Si les premières éditions proposaient des contenus principalement écrits agrémentés de quelques cartes et plans, la part des illustrations n’a cessé de s’accroître et de se diversifier au fil du temps, jusqu’à devenir prédominante dans certains guides contemporains. 

source : Presses universitaires de Rennes

Illustrer les guides touristiques imprimés du XIXe siècle à nos jours, broché, grand format, Histoire/Tourisme/Illustration, éditions Presses universitaires de Rennes, collection Tourisme, 336 pages, 2025

Publié avec le soutien de l’Université de Bretagne Occidentale

Ouvrage sous la direction de Delphine Acolat et Nicolas Bernard

Delphine Acolat :
Maître de conférences en histoire romaine et histoire de l’art antique à l’Université de Bretagne Occidentale, elle est directrice adjointe du Centre François Viète, laboratoire d’épistémologie, histoire des sciences et des techniques. Elle mène un projet de recherche sur le rapport entre la photographie ancienne, l’histoire de l’archéologie et l’histoire du tourisme.

Nicolas Bernard :
Professeur des universités, il enseigne la géographie du tourisme et des loisirs à l’université de Bretagne Occidentale. Ses travaux, menés au sein du laboratoire Géoarchitecture, portent sur les implications spatiales des pratiques récréatives.


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