néon, who’s afraid of red, yellow and blue ?
La maison rouge accueille la première grande exposition internationale consacrée au néon dans l’art des années 1940 à nos jours, présentant une centaine d’œuvres historiques ou inédites. Des pionniers Gyula Kosice et Lucio Fontana au début des années 1940 à 50, à François Morellet, Bruce Nauman, Stephen Antonakos, Joseph Kosuth ou Mario Merz dans les années 60, à des artistes tels que Jason Rhoades, Claude Lévêque, Sylvie Fleury et tant d’autres aujourd’hui…
Expo néon, who’s afraid of red, yellow and blue ?
La maison rouge
10, boulevard de la Bastille
Paris 12e
Ouvert du mercredi au dimanche de 11 h à 19 h – nocturne le jeudi jusqu’à 21 h
17 février - 20 mai 2012
Vittorio Santoro, « Le hibou tourne la tête pour regarder ailleurs »
La Fondation d'entreprise Ricard présente la première exposition solo institutionnelle à Paris de Vittorio Santoro. L'exposition intitulée Le hibou tourne la tête pour regarder ailleurs se concentre sur un aspect particulier de l'œuvre, installations allusives et pièces sculpturales, sans négliger néanmoins certaines ramifications de la pratique de Santoro, plus familières au public, telles que les time-based text works et les œuvres participatives à base de textes. L'artiste proposera également des dessins et des installations spécialement conçus pour l'exposition.
Expo Le hibou tourne la tête pour regarder ailleurs
Fondation d’entreprise Ricard
12, rue Boissy d’Anglas
Paris 8e
Entrée libre du mardi au samedi de 11 h à 19 h
(visites commentées – gratuites – chaque mercredi à 12 h 30 et samedi à 12 h 30 et 16 h)
6 - 31 mars 2012
Le Lieu du Design présente une exposition manifeste consacrée à la place et au rôle des designers dans l’espace public. A travers des projets emblématiques ou exemplaires, en France et à l’étranger, Sous les pavés, le design témoigne du rôle stratégique des designers dans l’espace public de demain.Quel rôle jouent-ils dans le processus de conception et de réalisation de l’espace public ? Quelle est leur contribution sur le confort et l’usage, le partage et la régulation, l’accessibilité, le lien social, la sobriété énergétique, la durabilité, la place de la nature ou encore l’identité culturelle ?
Expo Sous les pavés, le design
Le Lieu du Design - 74, rue du faubourg Saint-Antoine - Paris 12e
Du lundi au vendredi de 13 h à 18 h et le samedi de 13 h à 19 h
jusqu’au 23 juin 2012
Bob Dylan à la Cité de la Musique
Expo Bob Dylan, l'explosion Rock (61-66)
Bob Dylan est assurément un des musiciens les plus emblématiques de la seconde moitié du XXe siècle. Dans son parcours d'une exceptionnelle longévité, les années de 1961 à 1966 furent décisives. L'exposition retrace les moments forts de cette période, qui vit Dylan modifier radicalement son approche artistique et susciter une véritable révolution musicale.
Conçue par le Grammy Museum de Los Angeles, Bob Dylan, l'explosion rock raconte, au fil de photos inédites, d'objets et de documents rares, ainsi que d'archives audiovisuelles, cette étonnante histoire d'une évolution personnelle.
Expo Bob Dylan, l'explosion Rock (61-66)
Cité de la Musique
221, avenue Jean Jaurès
Paris 19e
Expo Bob Dylan, l'explosion Rock (61-66)
Cité de la Musique
221, avenue Jean Jaurès
Paris 19e
Du mardi au samedi de 12 h à 18 h ; le dimanche de 10 h à 18 h
Nocturne le vendredi et samedi jusqu'à 22 h
6 mars - 15 juillet 2012
Nocturne le vendredi et samedi jusqu'à 22 h
6 mars - 15 juillet 2012
John Greaves « The Trouble With Happiness » en concert au Triton le 17 mars 2012
« Et les chanteurs ? Quiconque mettra sur sa platine The Trouble With Happiness et entendra la première composition de Sophia Domancich, “A Lucky Day”, avec son exposé au piano qui lance la voix de John Greaves, ferme et douce, saura sans le moindre doute, que le disque vocal masculin tant attendu est là. Jazz ? Sophia Domancich est une pianiste de jazz, indiscutablement : toucher, phrasé, écoute, tempo sûr et aérien sont d'une improvisatrice. Et le violoncelle de Vincent Courtois, au timbre musclé à l'archet comme celui d'un saxophoniste ténor et au pizzicato de contrebassiste, donne à ce trio, où la voix a une présence à la fois instrumentale et charnelle, toute l'énergie contenue du jazz. »
(Michel Contat)
John Greaves (chant) - Sophia Domancich (piano) - Vincent Courtois (violoncelle)
Concert (17 mars) à 21 h de John Greaves + Sophia Domancich + Vincent Courtois
Le Triton
11 bis, rue du Coq Français
93260 Les Lilas (métro : Mairie des Lilas)
Trio déjanté de San Francisco, Primus fait figure de groupe à part dans un paysage musical trop souvent formaté. Depuis 2003, après une période d'inactivité, le groupe fondé au milieu des années quatre-vingt a repris du service. Il est en France en 2012 pour présenter son huitième et dernier opus intitulé Green NaugaHyde (disponible depuis septembre 2011). Le groupe navigue entre heavy metal, rock psychédélique et funk, accompagné par des textes assez drôles, pastiches de la société américaine. Jouant tantôt sur la virtuosité ou sur des motifs rock simples et puissants, Primus a mis en avant des ambiances étranges, riches de dissonances. On retrouve des éléments qui peuvent faire penser à Frank Zappa mais aussi aux Residents, pour l'inspiration vocale.
La provocation relate des relations entre deux postes-frontières. Un soir de réveillon, le poste albanais se trouve dépourvu de toutes vivres, alors que le poste ennemi festoie. Mais une invitée réclame des soins que seul le côté albanais peut lui offrir.
Ismail Kadaré, journaliste, romancier et poète albanais, est considéré comme l’un des plus grands auteurs de son temps. Il entretient avec la France, où il trouva l’asile politique en 1990, une relation privilégiée. Traduit dans une quarantaine de langues, lauréat du Man Booker International Prize et du Prix Prince-des-Asturies, il a toujours excellé dans la prose brève.
La Provocation, rappelle Ismail Kadaré, c’est le Désert des Tartares par -20°C. Le grand romancier albanais livre ici, entre autres, des textes inédits, dont trois ont été écrits après la chute du régime communiste en Albanie, et le quatrième, qui donne son titre à l’ensemble (« La Provocation »), il y a un demi-siècle. Une occasion supplémentaire de saluer une œuvre marquée par la lutte antitotalitaire et dont son auteur aime à expliquer qu’elle « a son propre calendrier, sa propre liberté qui n’a rien à voir avec la liberté extérieure ». Les cinq autres récits sont des « embryons narratifs », enchâssés jusqu’ici dans des œuvres plus longues, et qui prennent toute leur force dans cette autonomie nouvelle.
A travers des thèmes comme la guerre, la rencontre ou l’enfance, ce livre, qui vient de paraître, permet de redécouvrir un auteur poétique, dont le regard sensible et aiguisé continue de dévoiler la part universelle de l’homme.
Rencontre animée par Alexis Lacroix le jeudi 8 mars 2012
Centre national du livre
Hôtel d’Avejan
53, rue de Verneuil - Paris 7e
Entrée libre dans la limite des places disponibles
rsvp@centrenationaldulivre.fr
Primus en concert au Zénith de Paris le 27 mars 2012
Rencontre le 8 mars autour de La provocation, recueil de nouvelles d'Ismail Kadaré
La provocation relate des relations entre deux postes-frontières. Un soir de réveillon, le poste albanais se trouve dépourvu de toutes vivres, alors que le poste ennemi festoie. Mais une invitée réclame des soins que seul le côté albanais peut lui offrir.
Ismail Kadaré, journaliste, romancier et poète albanais, est considéré comme l’un des plus grands auteurs de son temps. Il entretient avec la France, où il trouva l’asile politique en 1990, une relation privilégiée. Traduit dans une quarantaine de langues, lauréat du Man Booker International Prize et du Prix Prince-des-Asturies, il a toujours excellé dans la prose brève.
La Provocation, rappelle Ismail Kadaré, c’est le Désert des Tartares par -20°C. Le grand romancier albanais livre ici, entre autres, des textes inédits, dont trois ont été écrits après la chute du régime communiste en Albanie, et le quatrième, qui donne son titre à l’ensemble (« La Provocation »), il y a un demi-siècle. Une occasion supplémentaire de saluer une œuvre marquée par la lutte antitotalitaire et dont son auteur aime à expliquer qu’elle « a son propre calendrier, sa propre liberté qui n’a rien à voir avec la liberté extérieure ». Les cinq autres récits sont des « embryons narratifs », enchâssés jusqu’ici dans des œuvres plus longues, et qui prennent toute leur force dans cette autonomie nouvelle.
A travers des thèmes comme la guerre, la rencontre ou l’enfance, ce livre, qui vient de paraître, permet de redécouvrir un auteur poétique, dont le regard sensible et aiguisé continue de dévoiler la part universelle de l’homme.
Rencontre animée par Alexis Lacroix le jeudi 8 mars 2012
Centre national du livre
Hôtel d’Avejan
53, rue de Verneuil - Paris 7e
Entrée libre dans la limite des places disponibles
rsvp@centrenationaldulivre.fr
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